19km
; M : 600m ; D :1330m ; 2,4 km/h
Lors
de la montée au col de la Colombière (facile), nous passons devant
un troupeau de moutons parqués sous la surveillance de 2 patous. Ils
restent heureusement calmes et nous continuons sans soucis.
Au cours de la descente sur Saint-Dalmas Le Selvage, nous apercevons
furtivement 2 jeunes chamois bien à l'abri au-dessus de nous.
Arrivés
au deuxième col de la journée (le col des Fourches), nous
pique-niquons, puis je redescends seul. Sébastien attend des
conditions favorables pour... se lancer dans les airs . Il atterrit sur le terrain de sport tout proche de notre gîte de la soirée. Le
gardien du gîte prendra même des photos lorsqu'il passe au-dessus
de lui.
Le
soir, nous ne sommes que 4 au gîte!
Au fond, le creux caractéristique du Pas de la Cavale, en montant au
col de la Colombière :
Troupeau de moutons (parqués) et les 2 patous :
Dernières vues du Pas de la Cavale :
Le col boisé de la Colombière :
Le village de Saint Dalmas le Selvage encaissé dans ses montagnes :
Pourquoi un si gros sac? Mystère!
Village plus aéré de Saint-Étienne de Tinée :
Sébastien a choisi un autre mode pour descendre: où est-il?
Il approche!
Le gîte et le parapentiste:
Atterrissage un peu venté:
... mais pas aux parapentistes
Il n'y a plus qu'à remballer
Avant - goût du but :
Y a des tricheurs pour descendre sans se fatiguer!
RépondreSupprimerElle est pour qui la bière?
Demain, fin de ma deuxième semaine avec les petits enfants, cette fois avec les 3 luxembourgeois.
RépondreSupprimerJe regrette vraiment de ne pas avoir pu profiter de la suite de ce périple avec ces paysages déjà méditerranéens, mais je n'ai encore pas le don d'ubiquité. Je me contente donc du soleil ( et des averses) alsaciennes.
Bon vent au parapentiste, et à son marcheur de père, surtout.
Cdt
Thierry